Surya Bonaly Enceinte 2020

Surya Bonaly Enceinte 2020 – Surya Bonaly a peut-être fait la joie des Français quand elle était plus jeune, mais elle vit depuis longtemps à l’étranger. Elle a eu 49 ans le 15 décembre et est résidente américaine depuis près de deux décennies.

Beaucoup de gens se souviennent d’elle pour le “salto arrière” qui porte son nom et pour son dévouement au tumbling artistique; elle a été cinq fois sacrée championne d’Europe et vice-championne du monde (1993-1995). Surya Bonaly aura 49 ans le jeudi 15 décembre et il n’a jamais perdu sa passion pour le patinage sur glace. La victime du racisme utilise cependant désormais ses compétences pour entraîner des athlètes aux États-Unis, où elle vit depuis plus de vingt ans.

“Ça fait vingt ans que je m’entraîne. Depuis 2015, je n’ai plus du tout joué dans des spectacles publics. Comme elle l’expliquait au Journal du dimanche en mars dernier, “la base reste Las Vegas, où ma mère est aussi Mais elle ne fait pas que ça, elle est aussi “sollicitée” pour aller “à l’étranger” (dans des endroits comme le Mexique, la Norvège, l’Espagne, etc.) ou “pour des scènes”.

Surya Bonaly, devenue citoyenne américaine en 2004, s’occupe d’enfants de tous âges, dont la fille de l’acteur Omar Sy. L’athlète a gardé quelques dictons de son temps passé à concourir au plus haut niveau : “Cela fait longtemps que je tire sur la corde.” Elle a déclaré au magazine français Figaro chaque mois de mars qu’elle avait des problèmes de dos, de cuisse et de genou.

À tel point qu’elle a finalement dû se faire opérer. L’énergie et les prouesses physiques qu’elle possédait autrefois ont disparu depuis longtemps et elle ne peut plus faire les acrobaties sur glace qu’elle faisait autrefois pour impressionner ses élèves. ‘A l’attaque, mes élèves !’

Netflix s’est intéressé à sa vie et à sa carrière, qui a été semée d’embûches, et a sorti un documentaire sur la “beauté de l’échec” chez les champions. La sien remonte jusqu’au JO, où elle n’a jamais remporté de médaille. Deux de ses films, dont un pour le septième art, sont actuellement en production, ce qui doit être pour lui une source de grande émotion.

Même si le cheminement de carrière de Surya Bonaly n’a rien de linéaire, elle a choisi de ne conserver que les expériences les plus enrichissantes. Si le public français m’appréciait, c’est en partie parce que je refusais de faire du patinage “plat et ennuyeux”. Et une chose est sûre : il n’était pas ennuyeux du tout. Le médaillé d’or olympique Gwendal Peizerat était l’invité de Morandini Live de CNews le 10 février 2020, pour discuter des abus auxquels sont confrontés les athlètes professionnels.

Le vandalisme artistique a désormais son propre mouvement #MeToo. Sarah Abitbol, grande promotrice du patinage artistique, accuse son entraîneur d’abus sexuels dans un livre intitulé Un si long silence (éd. Plon), publié deux ans après le mouvement qui avait secouru le monde du cinéma. Depuis lors, la communauté a été forcée de s’engager dans une réflexion personnelle très tardive mais essentielle.

La championne olympique de danse sur glace Gwendal Peizerat était l’invitée du Morandini Live de CNews le 10 février 2020, lorsqu’elle a discuté des diverses formes d’abus auxquelles les athlètes d’élite sont susceptibles. Les sportifs et les athlètes sont particulièrement vulnérables aux abus psychologiques et physiques, en plus des agressions sexuelles. Et le promoteur de citer le cas de Surya Bonaly en illustration.

Gwendal Peizerat a déclaré: “Il y a beaucoup de gens qui essaient de parler, puis nous les forçons à se taire.” Parce que les entraîneurs passent beaucoup de temps avec leurs protégés, souvent plus que leurs propres parents, ils développent des relations personnelles étroites avec les enfants qu’ils entraînent.

Certains sont abandonnés par leur famille pour se former dans des instituts nationaux comme l’INSEP ; ils n’ont plus personne pour s’occuper d’eux. Mais écoutez bien : nous avons parlé d’entraîneurs masculins, mais les entraîneurs féminins sont tout aussi capables de violence. Des conversations récentes ont évoqué les actes de violence bien connus commis par la mère de Surya, qui a également été son entraîneur. Que dois-je faire?”

Comme le dit le proverbe français : “Tirer par la natte pour l’emmener dans les vestiaires, lui jeter des protèges-lames à la figure…” Gwendal Peizerat revient ensuite sur les sévices subis par la mère de Surya Bonaly. C’est-à-dire le prendre par la natte et le conduire dans les vestiaires en lui donnant un masque de protection et des gants. Je m’excuse de parler d’elle, mais il y a bien d’autres personnes dont je pourrais parler.

Nous, membres de l’équipe de France, traversons une période très éprouvante en ce moment, car la parole libérée de Sarah a fait de nous des antennes humaines, et nombreux sont les témoignages qui nous sont parvenus aujourd’hui. Et nous réalisons l’ampleur de ce que cela signifie pour les générations futures. Gwendal Peizerat est optimiste quant à la prise de conscience du monde du patinage artistique et du monde sportif au sens large par les dangers du dopage.

Il y a un énorme projet de construction en cours pour construire un tout nouveau modèle de fédération. Nous ne sommes pas seuls, mais grâce à une réflexion collaborative, sportive et civique, nous avons le potentiel de servir de laboratoire expérimental qui produit de nouveaux résultats et des modèles à suivre pour d’autres fédérations.

Et finalement, l’optimiste : “Nous devrions tous réfléchir ensemble. Il faut une discussion plus large et que chacun forme des groupes de travail et apporte des idées au ministre et au comité olympique pour que cela ne se reproduise plus jamais dans le sport.”

La patineuse multi-récompensée des années 1990 Surya Bonaly revient sur sa carrière dans le Parisien. La communauté sportive se souvient du mal que les préjugés lui ont causé.La carrière de Surya Bonaly n’a pas vraiment été un fleuve tranquille.

Cependant, dans les années 1990, le sport était l’un des artistes les plus talentueux qui utilisaient la patine. Surya Bonaly, neuf fois championne de France, quintuple championne d’Europe et triple vice-championne du monde, a laissé sa marque sur la glace en créant un mouvement connu sous le nom de “Surya Bonaly”. Ce mouvement implique un saut en arrière avec les genoux et les pieds fléchis et se termine par une réception sur un pied.

Et pourtant, l’athlète a enduré beaucoup de peine tout au long de sa carrière, comme elle le raconte dans une longue interview au Parisien publiée ce mercredi 13 octobre. Et notamment comment elle a été ignorée à l’étranger à cause de la couleur de sa peau. La niçoise et adoptée raconte : “J’étais noire, une enfant adoptée, et trop différente.” Suzanne et Georges Bonaly l’ont accueillie lorsqu’elle était bébé.

« Je faisais des mouvements que personne d’autre ne pouvait faire, comme des quadruples sauts, et ça rendait les gens jaloux. ce n’était pas très ouvert et les gens étaient peu éduqués.

Et encore, ce n’était pas suffisant pour gagner à chaque fois. Surya Bonaly est un dur à cuire, mais il s’est quand même blessé en patinant. Un ancien athlète a déclaré dans les pages sportives parisiennes : “Je me disais :” Je vais encore à l’abattoir “, ce qui signifiait que je continuerais à m’entraîner dur avant une compétition.

Cependant, cela m’a donné l’envie d’atteindre enfin le sommet. Je considère que c’est un grand privilège d’être un pionnier. Il y a maintenant plus de coureurs noirs et bruns parce que j’ai ouvert la voie et prouvé qu’être noir ou brun ne signifie pas que vous devez jouer au basket ou au football.

Qu’est-il arrivé à Surya Bonaly, demandez-vous ?

Surya Bonaly a également connu le racisme lorsqu’elle s’est produite en public. En raison de la popularité du sport au-delà de son apogée compétitive, il a été adapté dans une variété d’émissions comme Holiday on Ice, Blanche-Neige on Ice et Champions on Ice. Des souvenirs qui ne la quitteront jamais : « Au cinéma, j’étais moins bien payée et je portais une tenue plus terne que le reste du public.

Quand j’ai entendu “Pour Surya, nous ne ferons pas de notre mieux”, c’est ce que j’ai retenu. J’ai été obligé de courir sous des lumières tamisées pour que personne ne puisse me voir, se souvient le jogger vétéran. Ma mère et moi nous disputions souvent, mais j’ai appris ma leçon et j’essaie de me racheter. Elle vit aux États-Unis depuis plusieurs années maintenant après avoir quitté la France. Depuis qu’elle est citoyenne américaine, elle s’est installée à Las Vegas, où elle forme de jeunes cavaliers.

Surya Bonaly, ancienne patriote et patriote, aura 48 ans le 15 décembre. Bien qu’elle ait pris sa retraite de la compétition, la quintuple championne d’Europe n’est jamais loin d’une patinoire.Bien qu’elle n’ait jamais été médaillée aux JO, le patinage artistique français possède l’un des meilleurs palmarès.

Surya Bonaly a toujours l’air magnifique et maintient ses routines de jeu de jambes malgré ses 48 ans le 15 de ce mois.Adoptée à la naissance, elle a commencé le patinage sur glace à l’âge d’un an et demi et la compétition peu de temps après ses six ans. Elle est née en 1973 à Nice. Les bons résultats des efforts de la jeune femme se multiplient rapidement.

En conséquence, elle sera vénérée pendant neuf années consécutives en tant que championne de France (1989-1997) et pendant cinq années consécutives en tant que championne d’Europe (1991-1995). Un CV qui ne vaut malheureusement pas grand-chose aux JO (4e place à Lillehammer en 1994 étant sa meilleure performance). De plus, elle est le catalyseur d’un mouvement qui porte son nom. C’est un saut en arrière avec les genoux fléchis et les pieds plats, avec un atterrissage sur un seul pied.

Surya Bonaly Enceinte 2020

Elle recroche ses chaussures à 25 ans.

En 1998, Surya Bonaly raccroche définitivement son bardeau. Mais ne serrez pas trop les lacets. Disant à nos amis de l’Ouest de la France en 2015, “Évidemment j’aurais aimé faire mon après-carrière en France, puisque c’est mon pays”, dit-elle. J’aurais aimé m’occuper de la prochaine génération de promeneurs de chiens. Mais ce n’est pas encore fait, et elle ne reviendra pas dans les codes.

Plutôt que de se laisser décourager, la Niçoise déménage à Las Vegas, Nevada, où elle lance une carrière d’entraîneure qu’elle poursuit à ce jour entre le Minnesota et le Nevada. Je parraine des jeunes américains de tous âges et de tous niveaux. Le Saint Graal pour eux est de remporter un championnat national aux États-Unis.

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