
Sylvie Pierre-Brossolette Et Son Mari – Diplômée de Sciences Po, elle débute sa carrière en 1974 comme ministre de la condition féminine dans le cabinet de Françoise Giroud en tant que chargée de mission chargée des relations avec la presse. Dès lors et jusqu’en 1976, elle est conseillère technique de Françoise Giroud au ministère de la Culture.
Elle a ensuite été employée par l’hebdomadaire L’Express, où elle est restée jusqu’en 1996 au poste de rédactrice en chef politique. Elle revient ensuite à la radio BFM puis prend le poste de rédactrice en chef de l’hebdomadaire Le Figaro. Avant de rejoindre Le Point en 2007, elle a été nommée réactrice en chef de la publication France-actualité. Elle succède à la rédactrice en chef de Catherine Pégard, nommée conseillère personnelle du président Nicolas Sarkozy. Là, elle supervise le service politique.
Récit de vie
Née à Paris en mai 1954, Sylvie Pierre-Brossolette est une journaliste française. Elle rejoint le Conseil supérieur de l’audiovisuel en janvier 2013, après avoir été rédactrice en chef de l’hebdomadaire Le Point. De plus, Sylvie Pierre-Brossolette a été conseillère littéraire pour La Cinquième de France 5 et plus tard pour France 5. Parmi ses affiliations à un club figure Le Siècle.
France Info, capitalisant sur ses responsabilités dans la filière politique du Point, l’a choisi pour débattre de Laurent Joffrin du journal Libération sur des sujets d’actualité politique dans une chronique matinale. Nicolas Beytout est remplacé par elle.
Ils nous ont quittés – médecin, philosophe et historien Philippe Meyer
De plus : le légendaire musicien et batteur Idir ; Germano Celant, historien de l’art ; et le symbole de la culture kabyle Idir. Tony Allen, l’athlète…Agé de 86 ans. Médecin, philosophe et historien français ; professeur distingué à l’hôpital Necker de Paris et à l’hôpital Charité-Humbolt de Berlin ; correspondant de l’Académie française des sciences.
Philosophie de la médecine (Grasset) était l’une des cent monographies scientifiques rédigées par l’essayiste et professeur d’histoire médicale à l’université Paris Descartes. En 2008, il signe également une histoire de l’Alsace (Perrin), démontrant son profond amour pour sa région d’origine. La journaliste Sylvie Pierre-Brossolette l’avait comme chien.
François Mitterrand, grand séducteur, a collectionné les maîtresses. Certains d’entre eux ont néanmoins compté plus que d’autres. Jean Garrigues raconte cette conquête, dont il était si fier qu’il l’a montré à son épouse, dans son livre Une histoire érotique de l’Élysée.
Tout en continuant d’amasser des conquêtes, Valéry Giscard d’Estaing — dit Valéry Folamour — François Mitterrand mène une double vie avec son épouse Danielle et sa maîtresse Anne Pingeot, la mère de sa fille Mazarine. Un portrait des présidents de notre république dressé par l’écrivain et historien Jean Garrigues dans son livre Une histoire érotique de l’Élysée (éditions Payot). Grands séducteurs dans l’âme, ils n’ont pas tardé à transformer le palais en un palais de plaisirs.
Mais ces présidents don Juan n’ont pas attendu leur élection à la fonction suprême pour user de leur charisme. Parallèlement à leur conquête du pouvoir s’est ajouté leur appétit pour la conquête féminine. Une histoire sur la « passion des femmes » de François Mitterrand racontée par Jean Garrigues. Avant même de devenir chef de l’Etat, l’homme politique collectionne les maîtresses et ne les cache pas. L’auteur décrit comment il ne peut s’empêcher d’en montrer un à sa femme, Danielle Mitterrand, tellement il en était amoureux.
L’historien ne mentionne pas comment l’épouse de l’homme politique a réagi à cette honte. Pourtant, Danielle Mitterrand n’a pas ignoré l’infidélité de son mari. Même si elle s’est d’abord sentie trahie, elle a finalement accepté la situation. C’était peut-être parce qu’elle connaissait ces escortes.
François Mitterrand ne tarda pas à renvoyer cette passion. Celle-ci fut si profondément émue qu’elle s’écria un soir devant les fenêtres du parti socialiste : « Tu n’es qu’un monstre ! Quant à Danielle Mitterrand, face à l’infidélité de son mari, elle aussi est devenue séduisante et va accumuler les aventures comme lui.
À 18h20, Mathilde Munos sera rejointe par Sylvie Pierre-Brossolette, présidente du Haut Conseil à l’égalité femmes-hommes. Marie-Claude Pierre-Brossolette Vice-présidente du Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes
Bien au contraire, le sexisme n’est pas une vieille nouvelle en 2024. Un diagnostic troublant sur l’égalité des sexes et ses racines est posé dans le rapport du HCE, élaboré en collaboration avec l’institut Viavoice. Et prouver que les jeunes ne sont pas antérieurement plus progressistes que les générations précédentes.
“Le sexisme demeure très puissant, en particulier et paradoxalement dans la tranche d’âge des jeunes adultes de 25-34 ans”, déplore Sylvie Pierre-Brossolette. “Nous avons dévoilé trois pistes”, explique le président du HCE. Le sexisme commence à la maison, se propage à l’école et explose finalement dans le domaine numérique.
À la maison, parce que les parents ne se rendent même pas compte qu’ils enseignent différemment aux filles et aux garçons, mais ils en sont très conscients. Les filles n’envisageaient même pas une carrière dans les sciences ou la technologie en raison des préjugés sexistes qu’elles rencontraient à l’école. Et enfin le numérique qui détruit tout. C’est l’un de nos scoops : presque toutes les vidéos pour enfants les plus populaires présentent des stéréotypes sexistes, même physiques.
Ce que Sylvie Pierre-Brossolette appelle en ligne « l’école du sexisme » est responsable de la prévalence du sexisme chez les 25 à 34 ans. C’est l’école du sexisme. En effet, le milieu familial perpétue les stéréotypes transmis à travers les âges. Lorsqu’on leur a posé la question, 74 % des filles ont déclaré qu’elles n’étaient pas traitées de la même manière que les garçons ; par exemple, 3 % des filles ont eu des petites voitures et 4 % des garçons ont eu de la soupe.
En fait, ces stéréotypes sont pérenniés par l’école. Là, nous pouvons agir, par exemple, en mettant enfin en œuvre la loi votée il y a 20 ans. Il est nécessaire de réévaluer les manuels scolaires afin que les enseignants n’aient pas de préjugés sexistes lorsqu’ils interrogent ou guident leurs élèves. L’éducation doit être basée sur l’égalité et le respect. La moitié des garçons de 12 ans pensent que c’est naturel. être violent lors d’un acte sexuel, surtout lorsque les filles l’attendent avec impatience et en profitent.
Critique du « degré de stéréotypes et de sexisme » du contenu
Ici, le président du HCE s’inscrit dans la même ligne que dans le précédent rapport de l’institution, qui dénonçait la “pornocriminalité” (un point fortement contesté par les professionnels et spécialistes du secteur). “Des mesures spécifiques pour le porno, retirer les scènes de torture et de barbarie”, propose-t-elle encore.
J’espère sincèrement que cet amendement, qui pourrait entrer en vigueur prochainement, sera une bénédiction de la part de l’Assemblée Nationale. Les grandes tendances nous ont été présentées concernant ce que l’on appelle communément le « sexisme ordinaire », ou les idées stéréotypées véhiculées par les plateformes en ligne les plus populaires.
Comme les chaînes de radio et de télévision, elles ont convenu d’auto-évaluer le niveau de sexisme et de stéréotypes dans les contenus les plus populaires. Si nous baissons la tête et respectons la loi, et si cela se fait chaque année sous l’égide de l’ARCOM, nous progresserons. Sylvie Pierre-Brossolette : « Au-delà du stéréotype féminin, on retrouve le cœur et l’âme des histoires.
La présidente du regroupement Droit des femmes et membre du CSA, Sylvie Pierre-Brossolette, était présente à la rencontre des écrivains de la SACD, lundi 1er décembre, pour discuter de la mise en œuvre de la loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes dans l’industrie cinématographique. C’est un sujet récurrent dans le dossier de France Télévisions.
La SACD vient de publier la dernière édition du pamphlet “Où sont les femmes”, qui intègre désormais des contenus audiovisuels soulignant l’importance du rôle culturel des femmes. On apprend notamment que les femmes ne représentent que 7,3 % des séries de 52′. Sylvie Pierre-Brossolette, nommée présidente du groupe de travail Droit des femmes du CSA en janvier 2013, trouve également le sujet sensible. Assumant le rôle d’une emmedeuse en la matière, la conseillère a débuté sa carrière auprès de Françoise Giroud au Secrétariat d’État à la condition féminine.
Sylvie Pierre-Brossolette est actuellement en prénégociation avec les réseaux afin de mettre en œuvre la loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, promulguée le 4 août 2014. Sa mission comporte deux volets : le premier est la représentation des femmes à la télévision. , ce qui est relativement facile selon elle car il suffit de spécialistes et de journalistes, et le deuxième est la lutte contre les stéréotypes, plus difficile à mettre en œuvre.

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